L’ AUTOHÉMOTHÉRAPIE
L’autohémothérapie consiste à prélever une certaine quantité de sang, par voie veineuse, sur un patient, puis à le lui réinjecter, avec ou sans préparation préalable du sang, dans les muscles ou dans la peau. Les techniques initiales, encore empiriques, ont commencé en France avec le prof. Paul Ravaut, 1913. Avec l’invention des antibiotiques et des médicaments modernes, cette méthode fut quasiment abandonnée par la médecine classique. De nos jours, l’autohémothérapie est de nouveau pratiquée en médecine biologique . La thérapie autosanguine a été développée par le médecin Dr. Reckeweg (1905-1985), en référence à la thérapie antihomotoxique. L’homotoxicologie part du principe que les maladies sont la conséquence d’intoxications. Les toxines se produisent soit dans le corps, soit elles sont absorbées de l’extérieur. La thérapie autosanguine se base sur l’idée que le sang infecté peut, s’il est dilué, favoriser la désintoxication de l’organisme. Principes Chaque stimulation exercée sur une partie du corps provoque, grâce au système régulateur, une réaction dans tout l’organisme. Avec l’autohémothérapie, c’est le sang prélevé et ensuite réinjecté qui constitue le stimulus. L’organisme détecte le sang réinjecté comme substance étrangère, activant ainsi le système immunitaire et encourageant la multiplication des cellules immunitaires. Ce qui conduit à une progression générale des défenses immunitaires. Dans un premier temps, l’autohémothérapie peut éventuellement aggraver les troubles (par exemple température corporelle élevée), ce qui pourtant est un signe précurseur de l’activation des forces d’auto-guérison du corps. Grâce à ce processus, une guérison devient possible. Les indications de l’autohémothérapie Les maladies inflammatoires chroniques de cause inconnue Toutes les maladies infectieuses, de manière générale. Toutes les maladies allergiques Les maladies auto-immunes SIDA La polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé, l'arthrite chronique Le diabète de type I et de type II Maladie inflammatoire chronique intestinale, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse Sd. néphrotique idiopathique, la maladie de Basedow, l'hypothyroïdie, l'hypoparathyroïdie Le syndrome de Ménière, le syndrome de Sjögren, le syndrome de Raynaud Le vitiligo, la dermatite, l'acné vulgaire, le psoriasis, la conjonctivite L'asthme, la rhinite, la bronchite, la sinusite, l'otite chronique Certaines maladies hématologiques, l'anémie, neutropénie chronique Les maladies neurologiques, la sclérose en plaques, la fibromyalgie Les maladies psychiatriques, la dépression, l'autisme infantile, la schizophrénie Toxicomanie, troubles du comportement Le syndrome de fatigue chronique (SFC) Les maladies gynécologiques, l'infertilité, la maladie inflammatoire pelvienne La douleur et l'inflammation chronique, etc. Contre-indications Tendance à la thrombose, phlébite, troubles de coagulation sanguine, prendre des médicaments anticoagulants, hémophilie, hyperthyroïdisme, émaciation, traitement immunosuppresseur, cholécystite chronique, appendicite chronique, grossesse. L’auto-hémothérapie est une ressource qui a un nombre énorme d’applications et qui a une explication scientifique, on sait comment elle fonctionne. Ce processus stimule théoriquement les mécanismes d’autoguérison du corps. L’autohémothérapie ne peut être pratiquée que par des médecins. Références Skinmed. 2005 Sep-Oct;4(5):316-9. Why a historical approach has clinical benefits: Staphylococcus toxoid and autohemotherapy. Steffen C. charlesseffen J Altern Complement Med. 1997 Summer;3(2):155-8. Successful treatment of herpetic infections by autohemotherapy. Olwin JH, Ratajczak HV. Stomatologiia (Mosk). 1995;74(2):37-9. [Immunocorrective therapy in the treatment of chronic herpetic stomatitis by using magnetic autohemotherapy] Grebnev EN, Shumskii AV. Klin Oczna. 1992 Apr;94(4):113-4. [Subconjunctival autohemotherapy of eye burns in our cases] Lenkiewicz E, Ferencowa A, Szewczykowa E. Anesteziol Reanimatol. 1989 Jan-Feb;(1):31-4. [A method and the clinical effect of quantum ultraviolet autohemotherapy in resuscitation of children] Kurapov EP, Lykov AA, Zhuravka GV, Ziberova EF, Golubov SP. Indian J Sex Transm Dis. 1990;11(2):57-8. Autohaemotherapy for genital, anal and perianal warts. Williams J, Raja DA, Kala M, Damodharan K, Sundraraj AS. J Int Med Res. 1994 May-Jun;22(3):131-44. Autohaemotherapy after treatment of blood with ozone. A reappraisal. Bocci V. Institute of General Physiology, University of Siena, Italy. J Hyg Epidemiol Microbiol Immunol. 1986;30(3):331-6. Immunomodulating effect of autohaemotherapy (a literature review). Klemparskaya NN, Shalnova GA, Ulanova AM, Kuzmina TD, Chuhrov AD. Pour obtenir plus d'information, envoyez-nous un E-mail et nous vous répondrons le plus vite possible.
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L’ AUTOHÉMOTHÉRAPIE
L’autohémothérapie consiste à prélever une certaine quantité de sang, par voie veineuse, sur un patient, puis à le lui réinjecter, avec ou sans préparation préalable du sang, dans les muscles ou dans la peau. Les techniques initiales, encore empiriques, ont commencé en France avec le prof. Paul Ravaut, 1913. Avec l’invention des antibiotiques et des médicaments modernes, cette méthode fut quasiment abandonnée par la médecine classique. De nos jours, l’autohémothérapie est de nouveau pratiquée en médecine biologique . La thérapie autosanguine a été développée par le médecin Dr. Reckeweg (1905-1985), en référence à la thérapie antihomotoxique. L’homotoxicologie part du principe que les maladies sont la conséquence d’intoxications. Les toxines se produisent soit dans le corps, soit elles sont absorbées de l’extérieur. La thérapie autosanguine se base sur l’idée que le sang infecté peut, s’il est dilué, favoriser la désintoxication de l’organisme. Principes Chaque stimulation exercée sur une partie du corps provoque, grâce au système régulateur, une réaction dans tout l’organisme. Avec l’autohémothérapie, c’est le sang prélevé et ensuite réinjecté qui constitue le stimulus. L’organisme détecte le sang réinjecté comme substance étrangère, activant ainsi le système immunitaire et encourageant la multiplication des cellules immunitaires. Ce qui conduit à une progression générale des défenses immunitaires. Dans un premier temps, l’autohémothérapie peut éventuellement aggraver les troubles (par exemple température corporelle élevée), ce qui pourtant est un signe précurseur de l’activation des forces d’auto- guérison du corps. Grâce à ce processus, une guérison devient possible. Les indications de l’autohémothérapie Les maladies inflammatoires chroniques de cause inconnue Toutes les maladies infectieuses, de manière générale. Toutes les maladies allergiques Les maladies auto-immunes SIDA La polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé, l'arthrite chronique Le diabète de type I et de type II Maladie inflammatoire chronique intestinale, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse Sd. néphrotique idiopathique, la maladie de Basedow, l'hypothyroïdie, l'hypoparathyroïdie Le syndrome de Ménière, le syndrome de Sjögren, le syndrome de Raynaud Le vitiligo, la dermatite, l'acné vulgaire, le psoriasis, la conjonctivite L'asthme, la rhinite, la bronchite, la sinusite, l'otite chronique Certaines maladies hématologiques, l'anémie, neutropénie chronique Les maladies neurologiques, la sclérose en plaques, la fibromyalgie Les maladies psychiatriques, la dépression, l'autisme infantile, la schizophrénie Toxicomanie, troubles du comportement Le syndrome de fatigue chronique (SFC) Les maladies gynécologiques, l'infertilité, la maladie inflammatoire pelvienne La douleur et l'inflammation chronique, etc. Contre-indications Tendance à la thrombose, phlébite, troubles de coagulation sanguine, prendre des médicaments anticoagulants, hémophilie, hyperthyroïdisme, émaciation, traitement immunosuppresseur, cholécystite chronique, appendicite chronique, grossesse. L’auto-hémothérapie est une ressource qui a un nombre énorme d’applications et qui a une explication scientifique, on sait comment elle fonctionne. Ce processus stimule théoriquement les mécanismes d’autoguérison du corps. L’autohémothérapie ne peut être pratiquée que par des médecins. Références Skinmed. 2005 Sep-Oct;4(5):316-9. Why a historical approach has clinical benefits: Staphylococcus toxoid and autohemotherapy. Steffen C. charlesseffen J Altern Complement Med. 1997 Summer;3(2):155-8. Successful treatment of herpetic infections by autohemotherapy. Olwin JH, Ratajczak HV. Stomatologiia (Mosk). 1995;74(2):37-9. [Immunocorrective therapy in the treatment of chronic herpetic stomatitis by using magnetic autohemotherapy] Grebnev EN, Shumskii AV. Klin Oczna. 1992 Apr;94(4):113-4. [Subconjunctival autohemotherapy of eye burns in our cases] Lenkiewicz E, Ferencowa A, Szewczykowa E. Anesteziol Reanimatol. 1989 Jan-Feb;(1):31-4. [A method and the clinical effect of quantum ultraviolet autohemotherapy in resuscitation of children] Kurapov EP, Lykov AA, Zhuravka GV, Ziberova EF, Golubov SP. Indian J Sex Transm Dis. 1990;11(2):57-8. Autohaemotherapy for genital, anal and perianal warts. Williams J, Raja DA, Kala M, Damodharan K, Sundraraj AS. J Int Med Res. 1994 May-Jun;22(3):131-44. Autohaemotherapy after treatment of blood with ozone. A reappraisal. Bocci V. Institute of General Physiology, University of Siena, Italy. J Hyg Epidemiol Microbiol Immunol. 1986;30(3):331-6. Immunomodulating effect of autohaemotherapy (a literature review). Klemparskaya NN, Shalnova GA, Ulanova AM, Kuzmina TD, Chuhrov AD. Pour obtenir plus d'information, envoyez-nous un E-mail et nous vous répondrons le plus vite possible.
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